Häufig gestellte Fragen
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Hydrospider (HSP) voit des opportunités de marché dans la production et la distribution d'hydrogène vert pour la mobilité. L'accent est actuellement mis sur la mobilité lourde (camions), où l'on prévoit un potentiel de 2000 camions en Suisse d'ici 2030.
Une initiative de mise en œuvre unique est en cours en Suisse depuis 2020, qui vise à décarboner le transport lourd dans tous les secteurs. Les plus de 20 exploitants actuels de camions électriques à pile à combustible ont déjà parcouru plus de 10 millions de kilomètres avec près de 50 camions H2 sans CO2 et ont ainsi économisé plus de 7'700 tonnes de CO2 (état 2025).
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Afin d'étendre davantage le système de mobilité à hydrogène, Hydrospider envisage désormais de construire une autre usine à proximité immédiate de sa centrale électrique au fil de l'eau à Niedergösgen pour produire jusqu'à 2 000 t d'hydrogène vert par an, créant ainsi un une contribution supplémentaire à la décarbonisation du secteur de la mobilité en Suisse. La puissance maximale prévue de l'électrolyse de 15 MW permet le fonctionnement de 300 à 400 camions H2 supplémentaires sans émissions.
Le processus d'approbation a été lancé par les autorités début 2023.
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HSP n'est pas impliquée dans la construction de stations-service à hydrogène (HRS) et ne les exploite pas non plus. HSP approvisionne les HRS respectifs de ses partenaires commerciaux en hydrogène vert. Il y a actuellement 18 HRS en service (état 2025). Pour toutes informations complémentaires concernant la planification, la rentabilité et l'expansion de HRS, l'association de soutien H2 Mobility Suisse est l'interlocuteur (https://h2mobilitaet.ch/).
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Notre site de production à Niedergösgen a la capacité de fournir environ 40 à 50 camions. Afin de développer davantage la mobilité lourde avec de l'hydrogène vert, la capacité de production en Suisse doit être considérablement augmentée.
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Avant 2020, il n'y avait aucune demande d'hydrogène vert pour la mobilité lourde. Au début du premier trimestre 2023, 47 camions H2 sont en circulation en Suisse, ce qui représente une croissance significative. Jusqu'à 2000 camions H2 devraient être utilisés en Suisse d'ici 2030, ce qui augmentera considérablement la demande en hydrogène vert.
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La demande est actuellement la plus forte pour la mobilité lourde et c'est là qu'Hydrospider voit les meilleures opportunités commerciales et donc le plus grand potentiel de décarbonation de la mobilité en Suisse. Une telle décarbonation des transports lourds n’est pas facile et l’hydrogène vert s’y prête très bien.
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De nombreux HRS sont également équipés pour faire le plein de voiture à hydrogène. Toutefois, la construction et la conception des HRS respectifs relèvent de la responsabilité de l'exploitant du HRS et non de celle du HSP. Pour toutes informations complémentaires concernant la planification et l'expansion de HRS, l'association de soutien H2 Mobility Suisse est l'interlocuteur (https://h2mobilitaet.ch/< /a>).
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L'expansion parallèle et la coordination entre les acteurs respectifs de l'écosystème H2 suisse (importateurs de camions H2, producteurs de H2 et opérateurs HRS) sont essentielles pour qu'un écosystème H2 efficace et capable de croître puisse être établi en Suisse. En Suisse, une bonne interaction entre tous les acteurs a rendu possible cette croissance parallèle de la production de H2, de HRS et de camions H2.
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En principe, l'hydrogène vert peut apporter une contribution précieuse à la décarbonation, notamment dans les domaines de la mobilité, de l'industrie et du bâtiment. En plus de ces domaines, l'énergie peut également être stockée sous forme d'hydrogène et contribuer ainsi à la sécurité d'approvisionnement énergétique du pays. Pour le moment, HSP se concentre principalement sur la mobilité lourde.
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De la propulsion électrique sans CO2 au ravitaillement en quelques minutes seulement en passant par l'autonomie de plus de 800 km, il existe de nombreuses bonnes raisons de passer à un véhicule à propulsion électrique à hydrogène. Les coûts du carburant pur restent compétitifs par rapport aux véhicules conventionnels comparables malgré l'augmentation des prix de l'énergie et de l'hydrogène.
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La taxe sur les véhicules lourds liée à la performance (RPLP) a été prélevée pour taxer les émissions causées par les véhicules lourds utilisant des combustibles fossiles. La RPLP n'a donc pas le caractère d'une subvention, mais est une taxe liée aux performances pour les transports lourds, qui génèrent des émissions élevées. Les camions à hydrogène et à batterie ne génèrent aucune émission et sont donc exonérés de la RPLP. Cela signifie qu'un camion H2 peut atteindre des coûts complets par kilomètre parcouru comparables à ceux d'un camion diesel.
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Les deux sous-produits sont l'oxygène (O2) et la chaleur. Ceux-ci ne seront plus utilisés dans l'usine de Gösgen, mais le seront dans des projets futurs et plus grands.
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En plus de l'électrolyse avec de l'électricité verte, il existe par exemple également la pyrolyse de la biomasse - un procédé qui pourrait également être utilisé en Suisse à l'avenir. Il existe également de nombreux autres procédés de production d'hydrogène non vert.
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La principale exigence du système est de couvrir la consommation des clients. Dans ces conditions, la production du système peut être optimisée en l'utilisant lorsque l'électricité verte peut être achetée au prix le moins cher.
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Pour le succès à long terme de la mobilité avec l'H2 vert, la capacité de production d'électricité à partir d'énergies renouvelables doit également être développée en Suisse. La consommation de 1 600 camions H2 correspond à la capacité installée d'environ 100 MW d'électrolyse H2.
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Pour le transport, l'hydrogène gazeux est comprimé à 350 bars et rempli dans des conteneurs de stockage spéciaux. Cela crée un système de conteneurs d'échange qui sont remplis sur le site de production puis échangés directement au HRS. L’hydrogène est stocké de manière hermétique dans les conteneurs et il n’y a aucune perte lors du transport vers le HRS. Le conteneur peut être transporté par route ou par train.
En théorie, le H2 peut également être transporté par pipelines à condition que l'infrastructure soit rénovée ou nouvellement construite. Malheureusement, cela n'est pas toujours le cas pour les gazoducs existants et n'est donc pas réalisable à court terme.
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Cette décision technologique est due aux propriétés physiques des conteneurs de gaz et à l'espace libre dans le conteneur.
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HSP s'engage pour une mobilité sans émissions en Suisse. L'entreprise préconise que les mesures réglementaires nécessaires soient mises en œuvre le plus rapidement possible afin que la décarbonation puisse réussir efficacement.
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Grande autonomie (400-600 km pour les camions, jusqu'à 800 km pour les voitures)
Neutralité climatique (cycle de production fermé)
Sans émissions (seules la vapeur d'eau et la chaleur perdue sont produites)
Recyclabilité et conservation des ressources naturelles
Temps de ravitaillement court par rapport aux voitures fonctionnant sur batterie
Conduite silencieuse par rapport à un moteur à combustion
Aucune décharge à l'arrêt
Peut également être utilisé pour les ménages ne disposant pas de parking ni de colonnes électriques
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Des exigences légales élevées en matière de sécurité sont imposées à l'installation, à la maintenance et à l'exploitation des systèmes H2. Cela signifie que les facteurs de risque connus peuvent être limités de manière fiable et que l'ensemble de la chaîne de valeur H2 peut être facilement contrôlé.
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Les constructeurs automobiles internationaux effectuent des tests d'accidents et de collision intensifs depuis de nombreuses années. Leurs résultats montrent que les véhicules à hydrogène ne peuvent pas être classés comme plus dangereux que les autres véhicules alimentés par batterie ou à moteur à combustion interne. Cette opinion est également partagée par la science.
L'hydrogène ne développe un effet explosif que lorsqu'un mélange H2/O2 contenant au moins quatre pour cent d'O2 est créé. Cependant, l'hydrogène, qui est plus léger que l'air, est si volatil qu'il s'échappe dans l'atmosphère avant qu'un tel mélange puisse se former.